Nil
Âge : intemporel Sur Nil depuis : toujours Lieu d'habitation : partout et nulle part Occupation : hanter vos pires cauchemars Situation amoureuse : uc Orientation sexuelle : uc Inventaire : uc Nom de famille : uc Pays d'origine : uc Métier ou études : uc Jokers : uc Pseudo (pronom) : pnj Messages : 223 Posts RP : 52 Faceclaim + crédit : © doom days Inscription : 16/07/2020 Multicomptes : unique Présence : Absent(e) Disponibilité rp : Indisponible Nombre de mots : uc Fréquence de rp : uc
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| Chasse aux portes Un petit espoir de s'échapper de cet enfer Nous sommes le 15 août 2020, midi approche à grands pas alors que @Moana (1012 jours), @Amália (980 jours), Polina (pnj - 369 jours, brune aux yeux bleus, délicate et douce) et Jack (pnj - 1312 jours, châtain aux yeux bruns, baraqué au grand cœur) s'avancent vers la coulée noire. Jack a la Priorité, @Moana agit à titre de Guetteuse, @Amália et Polina sont là en Soutien. Aperçevront-ils une ou des portes lors de cette chasse ? Seule Nil décidera de leur destin. Résumé du fonctionnement Vous pouvez répondre dans l'ordre que vous souhaitez. Comme Jack a la Priorité, je PNJ effectuera le lancer du dé des portes pour savoir combien de portes apparaîtront au cours de la Recherche, puis un dé de course pour chaque porte qui apparaît afin de déterminer s'il parvient à l'attraper. Si plusieurs portes devaient apparaître et que l'une d'entre vous devait devenir prioritaire, sachez que vous n'êtes pas obligées d'attraper les portes malgré le résultat du dé. Vous pouvez la céder à un autre joueur ou à un pnj si vous préférez. Le PNJ fera un passage à chaque tour pour décrire les actions des deux autres participants à la chasse. Il n'est pas exclu que Nil se mette de la partie, mais on essaiera de vous épargner un peu |
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Invité
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| chasse aux portes, première excursion.
15.08.20 - jour, 980 ft. @Moana
À l’éloignement de la Cité. Le cocon chaud de sa nouvelle habitation. Enfant de l’île depuis trois ans. Amália a quitté les airs pour une prison de terre et d’eau. Coincée avec des passagers d’un nouveau genre. Âmes perdues, kidnappées. Livrés à eux-même, prêt à composer sur un terrain inconnu, un terrain dangereux.
Départ en matinée. Femme de l’aube. Réveil au premier rayon de soleil quand l’insomnie ne frappe pas. Quand le cerveau ne s’enclenche pas sur mille et une réflexions. Trouver une solution pour s’enfuir. Quitter cet Enfer qu’elle n’a pas choisi, mais n’est-ce pas là, la définition même de l’Enfer ? Alors la Dame des Airs s’habille de son visage passif. Expressions inexistantes. Juste le froid et le marbre. Elle survit. Loin des attaches. Elle n’est juste qu’une instructrice, une protectrice. Rôle idéal pour avoir en mains les éléments essentiels et sa liberté. Stratégie choisie pour ne pas éveiller les soupçons. Au rôle joué au prix de la survie en communauté, car elle le sait, les outsiders marchent sur la fine membrane de la réussite, et la plupart chutent dans les entrailles de Nil.
À cette équipe tragique. Partenaires aux antipodes des idéaux d’Amália. La douce Polina, celle qu’on lui assimile. Mauvais amalgame. À cause de leurs physiques et de leurs caractères aux illusions semblables. La Hongroise n’y voit qu’une enfant fragile. Enveloppée dans la faiblesse de l’altruisme. Jack quant à lui est le héros du jour. Prioritaire à sortir. À saisir cette porte qui peut prendre forme dans le secteur. Son grand coeur le poussera peut être au sacrifice de laisser sa place. Au plus grand plaisir d’Amália, dans l’espoir fou que Moana disparaisse à travers l’une d’entre elles. Rivalité exacerbée entres les deux femmes. Dans l’insupportable sentiment d’observer la belle jeunesse aux commandes d’un pouvoir à responsabilités. De la connerie pour la Hongroise. La promotion cache forcément des dessous sales qu’elle compte bien découvrir, au cas où elle ne récupèrerait pas sa place.
Pour l’heure, malgré l’atmosphère électrique entre les deux Protectrices. Les mécanismes d’une politesse bien huilée sont installés. Son amertume ne doit pas être remarquée et faire l’objet de cancans sur le camp.
Midi approche. Les pas les dirigent vers la Coulée Noire. L’air océan traverse leurs cheveux et l'odeur particulière vient imprégner les muqueuses. À ce fond faussement paisible, Amália sait qu’elle n’est pas libre de ses envies. L’équipe trop parfaite, trop lisse, trop droite. À respecter scrupuleusement les codes de la Cité. Douce ironie, puisqu'elle porte elle-même ces valeurs. Avide d'autorité, elle aime être la donneuse et non celle qui reçoit, mais elle ne perd pas de vue son objectif : pousser Jack à offrir sa place à Moana.
Alors qu’elle s’éloigne de la Leadeuse, elle prend place aux côtés de l’homme. Les pieds se calent sur le chemin sécuritaire. Les pierres rebelles frappent et s’entrechoquent de leurs marches harmoniques au contact de leurs chaussures.
- Tu te sens comment Jack ? Excité, effrayé ?
L’oeil coule à lui dans une fausse nonchalance. Concentrée sur l’individu et le chemin qui se fraie. Elle ignore complètement Moana, dans cette habitude qu’elles se sont créés. Se parler uniquement quand c’est nécessaire. L’envie fort lointaine d’en faire sa grande copine. Coincée dans une jalousie aveuglante, alors qu’elles sont probablement bien plus similaires qu’elle ne peut se l’avouer.
- Lancer de dé:
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