Bienvenue sur Nihil Insulae, un forum rpg fantastique se centrant sur la survie sur une île déserte s'inspirant librement de la saga NIL de Lynne Matson où tous les personnages sont considérés éphémères et où vous constaterez que le destin et la mort sont omniprésents. Vos pseudos doivent avoir la forme d'un prénom ou d'un surnom. Avatars réels, doublons interdits. Pas de minimum de lignes dans les rps, seulement 1 rp par mois exigé. Nous remercions Chester qui a réalisé le design pour cette deuxième version. Le codage est une réalisation de Lust for life, à l'exception du moodboard pour lequel nous remercions HERESY. Le forum et son contenu sont une création de Lust for life, Divinity et Shaeryn. Merci de respecter notre travail. N'hésitez pas à mp Nil pour toute question.
Bienvenue à tou·te·s à l'occasion de cette grande ouverture de NIHIL INSULAE ! Après plusieurs mois de travail, nous sommes heureuses de vous présenter le forum et espérons que vous vous y plairez
Système de jeu
Nous vous rappelons que l'utilisation du système de jeuest obligatoire pour tou·te·s sur NI. Un rappel sera affiché à l'ouverture d'un sujet rp afin de vous indiquer si le lancer de dé est obligatoire dans la zone où votre personnage s'aventure
Le Discord de NI
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Première maj
La première mise à jour de NI aura lieu dans la nuit du vendredi 2 octobre prochain.
Un nouveau design et plusieurs nouveautés vous attendent !
Âge : elle entre dans la trentaine Langues parlées : l'anglais et l'espagnol Sur Nil depuis : l'aventure de sa vie se voit noircie par les mystères du Nil, depuis le 6 novembre 2017 Lieu d'habitation : la Cité de Nil Occupation : guerrière dans l'âme, destinée à devenir second du leader à la tête des protecteurs Situation amoureuse : l'esprit bien trop occupé par toutes ses responsabilités pour laisser son cœur découvrir les sensations procurées par ce mystérieux sentiment qu'on appelle l'amour Orientation sexuelle : les hommes ont tendance à l'attirer plus souvent, mais ce n'est peut-être qu'un hasard, car les femmes n'en sont pas moins attractives. Il est question de considérer l'âme de la personne, elle est donc pansexuelle Pays d'origine : l'île américaine Oahu, située dans l'archipel de l'île d'Hawaï. Where her heart belongs. Jokers : 1Pseudo (pronom) : divinity // bruna Messages : 122 Posts RP : 9 Faceclaim + crédit : Rihanna, the one and only by @endlesslove. Inscription : 17/07/2020 Multicomptes : RAS, pour l'instant. Présence : Présent(e) Narration rp : J'utilise souvent la deuxième personne, sinon la troisième. Je peux m'adapter facilement. Disponibilité rp : Bientôt disponible Nombre de mots : Entre 600 et 1000 généralement, mais je m'adapte facilement à la longueur de chacun.
Encore une fois, tu te retrouves à devoir chercher cette peste que tu as un jour décidé de prendre sous ta responsabilité. Tu sais qu'elle aime parfois se réfugier dans la crique de cristal. C'est donc en direction de la forêt, que tu t'aventures aujourd'hui. Tu marches pendant de longues minutes jusqu'à te perdre dans tes pensées. La masse verdoyante qui t'entoure ne peut que t'hypnotiser par sa beauté. Tu songes au jour où tu pourras prendre une porte et voir ce qu'il y a après. S'il y a quoi que ce soit, même. Tu reviens au moment présent et te rends compte que tu as marché un bout de temps. Tu lèves les yeux et repère où tu te trouves, au milieu de cette forêt que tu connais désormais par cœur. Après plus de deux ans passés sur l'île, surtout en tant qu'ancienne exploratrice et actuelle leader des protecteurs, c'est naturel de savoir.
Après avoir inspecté la zone de la crique de cristal, tu te fais à l'idée qu'elle n'est pas là-bas et qu'elle est sûrement rentrée au campement entre temps. Ce ne serait pas la première fois. Ni la dernière d'ailleurs. Tu retournes sur tes pas et marche quelque minutes. Tu prends le temps de contempler la nature verdoyante qui t'entoure. Elle sait bien cacher son caractère venimeux, mais qu'est-ce qu'elle est belle. Soudainement, tu entends des pas. C'est un son que tu n'entends pas souvent en forêt. Forcément, quand ça arrive, ton oreille t'en remercie presque. Tu t'arrêtes d'un coup, afin de capter les ondes sonores ou un mouvement. Une silhouette vacille derrière l'un des arbres, vers lequel tu te diriges discrètement, dans le but de le surprendre par derrière. C'est avec un petit couteau sous la gorge que l'inconnu se retrouve en cette journée d'août. Pourquoi tu te caches? Dit-elle en souriant, puis en le relâchant gentiment afin de le rassurer. Elle est du genre à préférer rigoler dans ce genre de situations, qu'elle ne prend désormais plus au sérieux. C'était probablement un nouvel arrivant un peu perdu. T'inquiètes tu ne mourras pas aujourd'hui. En tout cas, c'est pas moi qui te tuera! Ajoutes-tu d'un ton sarcastique et un peu séducteur. Tu dois avouer ressentir une chaleur au ventre lorsque ton regard se pose sur le sien. Tu accueilles cette sensation chaleureuse. Tu ne veux pas que ça s'arrête.
La nuit a été compliquée. Trente-quatrième nuit dans cette forêt. Plus le temps passe et plus je désespère. Je n'ai aucune idée de comment je me suis retrouvé ici, et j'ai l'impression que personne n'a de réelle réponse pour moi. La bonne nouvelle, c'est que je ne suis pas seul sur cette île. Mais la mauvaise nouvelle, c'est que justement, je ne suis pas seul. Cette adolescente rencontrée il y a quelques jours de cela m'a donné de l'espoir tout en me rendant encore plus méfiant. Qui sont ces personnes ? Quelle est cette cité dont elle m'a parlé ? Je n'ai pas voulu la suivre, parce que j'ai encore espoir que l'on viendra me chercher et qu'on me ramènera à Londres à un moment donné. C'est une mauvaise blague, rien de plus. Une très mauvaise blague.
Perché dans mon arbre, j'essaye de ne pas trop penser à ma faim. Je n'ai rien trouvé de très appétissant, rien dont je ne sois certain à cent pour cent que c'était comestible. Ce serait stupide de se retrouver empoisonné bêtement après avoir survécu exactement trente-quatre nuits. Je continue de graver chaque matin sur ma branche le nombre de nuits passées, c'est un rituel, dès que le soleil se lève, et ce même si je ne parviens pas à fermer l’œil de la nuit. J'essaye de ne pas y penser, mais l'envie de boire, non pas de l'eau mais bel et bien toute une bouteille de Gin, est bien trop présente. Je n'arrive pas à savoir si mes malaises et mes tremblements sont dus à mon manque d'alcool ou à ma sous nutrition et ma déshydratation, mais je sais que je ne suis pas dans mon état idéal. Qui le serait à ma place ?
Je descends de mon arbre, bien décidé à aller jusqu'au bout aujourd'hui, il faut que je trouve une source d'eau. Je n'ai pas réussi à fabriquer quoique ce soit d'assez solide pour en faire des réserve, si au moins j'avais une noix de coco ou quelque chose de similaire, je pourrais en faire une bouteille. Je fais quelques pas, puis me cache derrière le premier arbre lorsque j'entends quelqu'un approcher. Je ne suis pas équipé pour me défendre, contrairement à la jeune fille de l'autre jour, son couteau rapidement dégainé. Comment suis-je censé faire confiance à quelqu'un qui me menace d'une arme blanche ? Ma respiration s'accélère alors que j'entends la personne s'approcher un peu plus. Je sens alors quelque chose de froid au niveau de ma gorge, froid et tranchant. Je ne fais pas le malin, je ne pense pas être capable de faire face à une personne armée. Et c'est une voix de femme qui me demande ce que je fais caché derrière cet arbre. Une voix douce. Elle me relâche aussitôt, le sourire aux lèvres. Je suis partagé entre l'incompréhension face à la situation, et mes pensées qui me répètent que cette jeune femme a un regard... Un regard particulier, indescriptible.
« Je ne sais pas si je suis censé être rassuré... Tu n'es que la deuxième personne qui me menace d'un couteau. C'est une coutume sur cette île ? »
Je lui réponds sur le même ton sarcastique qu'elle emploie. Elle ne semble pas mauvaise, mais j'ai appris dans les films que les belles femmes, il fallait s'en méfier. Au moins, contrairement à la jeune fille rencontrée il y a quelques jours, elle ne semble pas me voir, moi, comme une menace.
« Je me cachais justement pour éviter de tomber sur une personne qui aurait envie de me mettre un couteau à la gorge. »
Je lui souris à mon tour. Mon rythme cardiaque ralentit tout autant qu'il s'accélère d'une autre manière. Un peu comme lors de ma première rencontre avec Aya. Aya que je ne reverrai peut-être jamais à ce rythme. Mes mains tremblent. Manque d'alcool, encore ? Peut-être bien, ou peut-être est-ce autre chose.
« J'étais juste en chemin pour trouver une source d'eau. Est-ce que tu connais le coin bien les environs ? »
Je baisse ma garde. Est-ce bien raisonnable ? Je ne pense pas...
(c) DΛNDELION
Lancer:
lancer de survie : un long fleuve tranquille
Moana
Âge : elle entre dans la trentaine Langues parlées : l'anglais et l'espagnol Sur Nil depuis : l'aventure de sa vie se voit noircie par les mystères du Nil, depuis le 6 novembre 2017 Lieu d'habitation : la Cité de Nil Occupation : guerrière dans l'âme, destinée à devenir second du leader à la tête des protecteurs Situation amoureuse : l'esprit bien trop occupé par toutes ses responsabilités pour laisser son cœur découvrir les sensations procurées par ce mystérieux sentiment qu'on appelle l'amour Orientation sexuelle : les hommes ont tendance à l'attirer plus souvent, mais ce n'est peut-être qu'un hasard, car les femmes n'en sont pas moins attractives. Il est question de considérer l'âme de la personne, elle est donc pansexuelle Pays d'origine : l'île américaine Oahu, située dans l'archipel de l'île d'Hawaï. Where her heart belongs. Jokers : 1Pseudo (pronom) : divinity // bruna Messages : 122 Posts RP : 9 Faceclaim + crédit : Rihanna, the one and only by @endlesslove. Inscription : 17/07/2020 Multicomptes : RAS, pour l'instant. Présence : Présent(e) Narration rp : J'utilise souvent la deuxième personne, sinon la troisième. Je peux m'adapter facilement. Disponibilité rp : Bientôt disponible Nombre de mots : Entre 600 et 1000 généralement, mais je m'adapte facilement à la longueur de chacun.
D'humeur taquine et séductrice. C'est ainsi que se présente la rencontre avec ce mystérieux jeune gomme. Ce n'est pas tous les jours que tu croises un bel inconnu en pleine forêt. Ne l'ayant jamais vu auparavant, tu penses directement à la possibilité, presque certitude, qu'il est arrivé récemment sur l'île. Tu ne peux t'empêcher de te remémorer tes premiers instants sur le sol humide du Nil. Étant toi-même née sur une île, le paysage n'était pas si différent. Et pourtant. Tu savais pertinemment que tu étais partout, sauf sur ton île. Il y avait quelque chose de différent. Même l'air ne semblait pas être le même. Il en était de même pour les odeurs, les couleurs, les sensations sur ta peau. Quelque chose fais en sorte que tu te sortes comme à la maison. Mais, en même temps, quelque chose t'empêche de t'y sentir complètement. Comme à la maison. Tu sens une lourdeur dans l'air qui s'appuie sur tes épaules. Comme quelque chose de sombre, qui t'oblige à parfois te reconcentrer sur ta respiration. Ainsi, tu te recentres sur toi même. Tu t'empêches de prendre le fil. Mais, cette mystérieuse sensation te hante encore aujourd'hui. En même temps, elle te rappelle que tu n'es pas chez toi. Tu n'es pas à la maison. Tu ne sais pas où tu es, mais il a bien fallu t'adapter. C'était ça ou mourir. Et encore, chaque jour, tu te bats. Dans l'espoir de trouver une porte, parce que c'est apparemment le but. Tu en as déjà vu les prendre, mais tu ne sais pas où ils vont. Dans le monde réel ? Peut-être. Sûrement. Mais comment être sûr? Tu ne peux pas, bien sûr. Ou ce serait beaucoup trop facile, confortable. Il faut oser la prendre. Coûte de coûte.
Disons que c'est l'arme la plus sûre et la plus facile à utiliser sur le Nil. Tu ne peux t'empêcher de sourire à son emploi du même ton sarcastique. Tu te surprends à apprécier sa beauté. Tu sens que tout ceci est probablement une très mauvaise idée. C'est exactement la raison pour laquelle tu continues. Tu fais confiance à la vie, toujours. Bercée depuis toujours par la phrase "tout arrive pour une raison", cela n'a jamais changé. Moana d'avant et après, ce n'est pas la même. Mais, il y a des choses qui n'ont pas changé. Tu aimes son humour en plus, tu ne peux pas t'empêcher. Tu te tiens là, à sourire bêtement. Comme les gosses. Il te fait craquer, mais tu saches directement cette pensée de ton esprit. Tu préfères overdoser ton esprit de responsabilités, au lieu de telles sensations et émotions. Sa question te fait revenir sur Terre. Tu prends quelques secondes pour la saisir et pouvoir y répondre. Une source d'eau? Il y en a une à quelques kilomètres. Je peux t'y accompagner si tu veux, cela fera ma marche de la journée. Dis-tu en souriant. Tu avais presque oublié que tu étais sur le Nil et qu'il y avait chaque jour de nouveaux arrivants. Mais surtout, que c'était sûrement son cas s'il pose cette question. C'est ton choix de ne pas intégrer la Cité de Nil, ou personne t'en a parlé? C'est maintenant la question que tu te poses. Chacun a ses raisons de ne pas vouloir s'y rendre, c'est souvent le cas et elles peuvent être très variées. Tu les comprends toutes, car chacun a un vécu différent. En plus, avec le temps, tu as finis pas comprendre, que chaque réaction, chaque choix sur cette île, est justifié et influencé par des forces extérieures, qu'elles soient connues ou inconnues. D'ailleurs, la Crique de Cristal n'est pas loin de la Cité. T'y trouves une superbe cascade d'eau glacée, mais on risque d'y croiser des habitants de la Cité. Mais, on peut s'y aventurer sans problème. T'inquiètes, je te protège! Tu ne peux t'empêcher de le taquiner sur ce sujet. Les nouveaux arrivants émanent toujours une énergie naïve et vulnérable que tu adores exploiter.
lancer de dés:
du coup, on prend quel résultat? les deux me vont personnellement. moana n'a peur de rien
Je dois avouer être un peu déconcerté par cette ambiance pesante sur cette île. Je n'ai visité que la forêt, et la plage parfois, mais de ce que j'ai vu, et de ce que je commence à comprendre, personne ne se sent en sécurité nulle part. C'est la deuxième fois que l'on me menace d'un couteau, et même si cette jeune femme semble moins sauvage que l'adolescente récemment rencontrée, je ne me ferai jamais à l'idée qu'à tout moment, une lame froide puisse frôler ma gorge. Qui aime être menacé d'une arme, honnêtement ?
Elle m'avoue que le couteau est l'arme la plus facile à utiliser sur cette île. Je la crois sur parole, même si j'ignore de quelle manière elle s'est procuré ce couteau en question. Peut-être vient elle de la cité dont me parlait la jeune fille à la méduse. Cette cité m'intrigue depuis une semaine à présent. M'y rendre ? Rester dans mon arbre ? Combien de temps vais-je réussir à survivre seul dans ce milieu hostile ? Et combien de temps avant que je ne parvienne à m'en aller de cette île. Ce n'est pas parce que certains semblent être coincés depuis longtemps que je ne parviendrai pas à partir. Et puis, ce n'est peut-être qu'un mauvais rêve duquel je me réveillerai à un moment donné. Un rêve qui semble essayer de me faire oublier Aya coûte que coûte, car il faut le dire, cette jeune femme qui m'a menacée est sublime.
J'admets alors être à la recherche d'une source d'eau. Je me souviens être tombé une fois sur une source parfaite avant d'être poursuivi par une bête. Bien trop concentré pour trouvé un endroit relativement sûr, je n'ai pas vraiment eu le temps de cartographier le chemin, et surtout, j'ai tendance à confondre ma droite et ma gauche, parfois, alors je ne fais pas confiance à ma mémoire. Elle confirme qu'il y a une source d'eau à quelques kilomètres et propose de m'y accompagner.
« Avec plaisir ! Je vais essayer de retenir le chemin pour la prochaine fois. »
Peut-être que je m'y prends mal pour survivre ici. Peut-être que moi aussi je devrais me méfier, peut-être que je devrais continuer à la jouer solitaire. Pourtant, je ne veux pas devenir de ceux qui brandissent un couteau au moindre craquage de branche. Peut-être que je n'y échapperai pas, mais si je peux rester celui que je suis – avec plus de barbe, évidemment – le plus longtemps possible, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour cela. Et puis, être en si charmante compagnie ne se refuse pas, même dans une situation aussi étrange que mon arrivée et ma survie sur cette île.
Elle me parle de la cité. Cela confirme donc que, comme Rouge, elle vient de là-bas, ou du moins, vit là-bas. Quant à sa question, je ne suis pas sûr de moi-même connaître la réponse. Je ne sais pas pourquoi exactement je n'ai pas suivi la jeune femme il y a quelques jours.
« C'est un choix. »
Le choix de ne pas prendre de décision pour le moment, disons.
« On m'en a parlé récemment, je ne suis juste... pas prêt. »
Je ne sais pas ce que je vais y trouver, je ne sais pas si c'est un piège, et pour l'instant, aussi étonnant que cela puisse paraître, mon périmètre forestier est une zone de confort que j'ai du mal à quitter. C'est comme quitter Londres pour aller vivre à la campagne dans une grande maison avec un grand terrain. Quitter ses habitudes pour l'inconnu, ne pas savoir comment on va se sentir. Évidemment que la situation actuelle n'est pas idéale, mais la crainte que ce soit pire en rejoignant la cité est réelle. La jeune femme ajoute que là où on se rend – la Crique de Cristal – n'est pas loin de la dite cité, et que de ce fait, il est possible que l'on vienne à croiser des habitants. Elle ajoute alors qu'elle me protégera et j'hésite entre rire ou la prendre au sérieux. Est-ce qu'elle insinue que les habitants de cette fameuse cité sont dangereux. Je hausse les épaules discrètement, je verrai bien.
« Si tu me protèges, alors je n'ai pas à m'inquiéter j'imagine ! Au fait, je suis Maheo. »
Ce nom imposteur, ce surnom que je n'ai jamais compris mais que j'ai toujours aimé. Maheo, cet homme que j'ai toujours essayé d'être, un homme présent pour Aya, un homme sobre, un homme fort. Je me mens à moi-même, mais ça vaut la peine d'essayer.
« Vous êtes nombreux dans cette cité ? »
Même si l'adolescente m'a déjà un peu parlé de cet endroit, inconsciemment, je vérifie que tout le monde a la même version, que l'on essaye pas d'adapter le discours selon les cas. Est-ce que la méfiance est dans le package qui vient avec la barbe qui pousse depuis plusieurs semaines ? Peut-être bien...
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