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Bienvenue sur Nihil Insulae, un forum rpg fantastique se centrant sur la survie sur une île déserte s'inspirant librement de la saga NIL de Lynne Matson où tous les personnages sont considérés éphémères et où vous constaterez que le destin et la mort sont omniprésents. Vos pseudos doivent avoir la forme d'un prénom ou d'un surnom. Avatars réels, doublons interdits. Pas de minimum de lignes dans les rps, seulement 1 rp par mois exigé.
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 (hutte 8) a bull in a china shop

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Hirono
Hirono
Âge : 22
Langues parlées : japonais, anglais scolaire
Sur Nil depuis : 18 juin 2020
Lieu d'habitation : la cité
Occupation : plongeuse en apnée (ama)
Situation amoureuse : célibataire
Orientation sexuelle : hétérosexuelle
(hutte 8) a bull in a china shop IwUo21Q
Nom de famille : miyagi (宮城)
Pays d'origine : japon, ishigakijima
Métier ou études : neet après l'abandon de ses études, ama à ses heures perdues
Jokers : 1
Pseudo (pronom) : chester (elle)
Messages : 66
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Faceclaim + crédit : sakura heffron
Inscription : 23/08/2020
Multicomptes : aucun
Présence : Présent(e)
Narration rp : elle, pas chiante pour les partenaires :)
Disponibilité rp : Indisponible
Nombre de mots : bonne question
Fréquence de rp : objectif 1 rp par semaine minimum

Jour 1 à 365

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MessageSujet: (hutte 8) a bull in a china shop   (hutte 8) a bull in a china shop EmptyJeu 27 Aoû - 15:56

2 août 2020, entre 2 et 3 heures du matin, 44 jours et demi
hutte 8
@maria

45 jours. Elle les compte, Hirono, même si ses croyances lui donnent une excuse de rester philosophe, par simple souci de ne pas perdre la notion du temps. Quasiment un mois et demi qu'elle partage la hutte avec cette gamine aux cheveux roux, qui parle fort et qui remue beaucoup. Rouge, c'est ça son prénom, bizarre pour une Américaine. Rouge et son tempérament, au final, ils ont eu du bol de tomber sur Hirono qui préfère se taire et observer, pas encore tout à fait à l'aise avec le fait de devoir utiliser son anglais scolaire et rouillé au quotidien comme ça. Ça lui donne l'impression de passer pour une idiote, de parler comme un enfant de quatre ans - on dira ce qu'on veut, sa licence avortée, ça lui a clairement pas appris grand chose. Finalement, son silence, ça a l'air de fonctionner dans cette dynamique un peu bizarre où elles se calculent quasiment pas en exploration mais passé la nuit tombée, Hirono se retrouve à entonner des chansons pour calmer ses terreurs nocturnes.
Et en parlant de terreur, voilà maintenant deux semaines que ce type gigantesque a élu domicile dans l'autre coin de la hutte. Qui parle pas beaucoup non plus, mais à côté des deux gamines de la cabane, l'ambiance est nettement différente. Hirono, elle sait déjà pas comment causer à Rouge, alors à Maria - dieu merci pour son prénom mal assorti à son gabarit mais facile à prononcer - c'est encore pire. Et ce soir-là, elle tourne en rond, Hirono, à pas trouver le sommeil sur son lit de camp de fortune, Rouge s'est barrée chez Wolf pour la soirée - non sans une grimace de sa part, ce gars elle le sent pas - et maintenant y'a Maria qui est rentré plus tard qu'elle et s'est assoupi comme une pierre. Une pierre qui produirait le même volume sonore qu'un vieux camion à essence sur un chemin de montagne grimpant. Ça fait plusieurs jours que c'est comme ça, et elle dit trop rien, Hirono. C'est pas vraiment de sa faute, à Maria, et ses notions de politesse lui posent souvent des barrières, mais là elle peut plus, elle a besoin de dormir. Une môme de vingt-deux ans peut se permettre de vivre sur trois petites heures de sommeil par nuit pendant un certain temps, mais elle a aussi ses limites, et elle est clairement inutile au groupe si c'est pour faire une sieste pendant que tout le monde part en exploration.
Hirono laisse échapper un « あきさみよぅ » à peine soufflé pour elle-même, l'image de sa grand-mère prononçant régulièrement ce même mot dans à peu près toutes les situations dans sa tête. Elle finit par se redresser, pour faire quelques pas et s'accroupir près de la couchette du colosse. « Maria. » Elle commence par murmurer, histoire de pas le brusquer. Faudrait pas non plus qu'elle le fasse paniquer, histoire d'éviter de se prendre la plus grosse mandale de sa vie. « Maria, » elle répète, un peu plus fort, pour finalement voir ses yeux s'ouvrir. Hirono prend une inspiration, avec une expression un peu désolée de le réveiller comme ça. « Tu... » Merde, on dit comment ronfler en anglais déjà ? C'est le trou noir dans sa tête épuisée. « ...du bruit. » C'est clairement pas exactement la périphrase la plus compréhensible, mais elle esquisse un geste en désignant son propre nez histoire de lui faire comprendre de quel genre de bruits elle parle. « Très fort, » elle ajoute avec son lourd accent en guise de précision, glissant une mèche de ses longs cheveux ondulés par le sel derrière son oreille. Elle prend soin d'ajouter une petite grimace et un léger sourire histoire de montrer qu'elle est pas en colère quand même. Juste fatiguée et un peu embêtée d'avoir dû le réveiller, mais c'était probablement pas une excellent idée d'essayer de le retourner sur son lit de camp sans le tirer de son sommeil, au vu du gabarit.
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MessageSujet: Re: (hutte 8) a bull in a china shop   (hutte 8) a bull in a china shop EmptyMer 2 Sep - 22:26

02.08.2020, jour 18
@Hirono

La hutte. Son havre de paix. Si seulement Maria avait l’occasion d’y passer plus de temps. Tout ce qu’il voulait, depuis son arrivée ici, c’était dormir.
Enfin il voulait foutre le camp aussi, mais on lui avait vite fait comprendre que ce n’était pas possible dans l’immédiat. Alors la seule échappatoire qu’il lui restait, c’étaient ses rêves. Quand il fermait les yeux, il n’était plus sur sa couchette inconfortable dans cette hutte minuscule. Il était ailleurs, là où son cerveau voulait bien l’emmener.

Il n’avait jamais de mal à s’endormir ; ses journées étaient épuisantes. Remplies d’entraînements au combat et d’une faim poignante. Cette faim, c’était une douleur lente qui lui empoignait le ventre. La nourriture qu’offrait l’île ne serait jamais suffisante pour lui permettre de tenir son régime alimentaire de bodybuilder. Que reposent en paix ses quintuples riz-dindes journaliers. Et tant pis pour le petit filet d’huile d’olive et ses bons lipides.

Donc tous les soirs, Maria rentrait à la hutte et allait se coucher directement. Parfois, il devait faire semblant d’écouter Rouge pendant qu’elle lui racontait sa vie. Alors il s’allongeait sur le dos et hochait la tête à intervalles régulier. Elle était si pleine de vie, c’était parfois épuisant. Souvent, elle le tenait éveillé pendant d’interminables minutes, ne se rendant pas compte du supplice qu’elle lui imposait. Tout ce que voulait Maria, c’était dormir.
L’autre colocataire de la hutte, c’était Hirono. Nihiro ? Horini ? Pas Onigiri ça c’est raciste. Mais probablement Hinoro. Maria n’osait plus demander, cela faisait deux semaines qu’il partageait sa hutte, ce serait malpoli. Elle était beaucoup plus calme, Horino. Plus sage, plus silencieuse. La colocataire parfaite et respectueuse du sommeil des autres. Maria ne demandait rien de plus en ces temps où s’endormir relevait de la course contre la montre, lui qui sentait parfois les larmes lui monter aux yeux à l’idée de finir sa vie coincée sur cet île maudite.

Ce soir-là, Maria s’était endormi en une fraction de secondes. Il avait réussi à ne pas se cogner sur le haut de la porte. L’homme alla alors à sa couchette et s’allongea, faisant le moins de bruits possibles.
Cette fois, ses rêves le laissaient revivre des histoires de cœur comme jamais il n’en vivrait plus jamais. Rien d’incroyable, la vie de Maria avait été plutôt solitaire, mais pas dénuées de moments tendres qui avaient toujours gardé une place précieuse dans ses souvenirs.
Et à moins de rencontrer l’âme-sœur sur Nil (soyons francs, ce n’était pas près d’arriver), il ne revivrait plus jamais de si belles histoires. Cela faisait parti des réalisations tristes qui rendaient difficile l’idée de finir sa vie ici.

Maria rêvait de ces matinées passées au lit avec celui qu’il aimait. Caché sous l’épaisse couverture qui protégeait des monstres et des hivers islandais, son amour blotti contre lui, plus petit que lui, perdu dans ses gros bras.
« Maria » lui disait son amour. « Maria »
Et dans son rêve il ouvrait les yeux, mais ne voyait que sa chambre plongée dans le noir. Ce que lui disait son amour, Maria ne le comprenait pas. Il ronflait, probablement, il avait toujours ronflé. « Fyrirgefðu elskan » s’excusait-il par réflexe, dans son demi-sommeil islandais.
L’homme de ses rêves, face à lui, il était beaucoup trop loin. Maria n’aimait pas cette distance. Il avait besoin de sentir leurs corps l’un contre l’autre, il avait besoin de tendresse, d’être rassuré. Alors Maria tendit son énorme bras et tira l’homme vers lui, aussi délicatement que ses paluches monstrueuses le lui permettaient. Son deuxième bras rejoint l’étreinte, et Maria se rendormi avec l’homme de ses rêves blotti contre lui. Il était un enfant démesuré, et cet homme la peluche qui l’aidait à dormir sereinement. « Ég elska þig » murmura-t-il tendrement, en se rendormant sans se rendre compte que c’était Horino qu’il venait de saisir de force.

Désolé Hironi. Hirono ? Hinoro ?
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Hirono
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MessageSujet: Re: (hutte 8) a bull in a china shop   (hutte 8) a bull in a china shop EmptyDim 13 Sep - 16:56

Hirono, quand elle se lève au milieu de la nuit pour enfin braver sa politesse excessive et venir faire remarquer à @Maria qu'il fait le bruit d'un bébé orque enrhummé, elle a clairement aucune idée de ce pour quoi elle signe. Il intimide aussi, Maria, avec son volume, et il est pas là depuis assez longtemps pour qu'elle soit à l'aise dans ce genre de situation. Elle s'approche, pique le bras de Maria du bout du doigt, une fois, deux fois, rien. Le colosse ronfle à quarante décibels dans ses oreilles et à poings fermés. Elle sait même pas comment ça se dit en anglais, et elle a aussi un peu peur de paraître malpolie en employant des termes trop crus, mais au point où elle en est, tant pis.
Ses appels chuchotés trouvent sourde oreille alors que Maria ne bouge pas d'un poil, avant de grommeler un truc dans une langue inconnue. Sans doute la sienne, mais par réflexe, Hirono, elle relie pas les points. « Quoi ? » elle répond par réflexe, comme si Maria s'était adressé à elle - malgré ses paupières closes et l'emploi évident d'un dialecte qu'elle n'a jamais entendu dans la Cité et ne comprend aucun mot. Il lui faut un peu de temps pour intégrer l'info à essayer de savoir si Maria l'a entendue et compte répéter ça en anglais, mais non, c'est un autre mot en islandais qu'il sort à la place, et avant même qu'elle n'ait eu le temps de dire ouf, voilà que ses bras viennent l'écrabouiller contre son torse, un bras coincé dans un angle inconfortable et le visage écrasé contre son propre coudre opposé. Si Hirono était une poupée de chiffon, ce serait ce à quoi elle ressemblerait après un lavage en machine à pleine vitesse, sans doute. Cheveux en vrac formant un épi ridicule sur le haut de son crâne sous le bras de Maria. « Umphf- » elle lâche dans un couinement étouffé, clignant des yeux deux fois pour remettre ses idées en place. Donc la voilà coincée comme un animal sous les biceps de Maria, qui doivent à peu près faire l'épaisseur de deux grosses bûches de bois, et il dort toujours. La seule manière pour rendre la situation encore pire serait de - ah, bah voilà, il reprend ses ronflements, cette fois à quelques centimètres de l'oreille gauche de Hirono. Ce volume sonore, c'est presque un exploit, il pourrait rivaliser avec la cabane de la bande de Wolf à lui tout seul. « Mrrr, » essaie d'appeler Hirono, mais sa mâchoire est coincée et peine à sortir la moindre voyelle. En l'état, y'a plus qu'une seule solution, qu'elle a sans doute pas employée depuis qu'elle a soufflé ses dix bougies. Une technique de gamins bataillant dans les fourrés ou sur une plage à longueur de journée. Hirono dégage son bras le plus disponible, le tend au-dessus de sa tête, et dans un mouvement précis... vient fourrer son index et son majeur dans les deux narines du colosse. « ごめんね, » elle souffle par réflexe, comme si ses excuses allaient être entendues. Sur le coup, ça fait pas beaucoup d'effet, à part le faire renifler un coup. C'est peut-être même la solution à ses ronflements, mais là, Hirono, elle veut juste le réveiller. Alors elle plie sa main pour en faire un crochet... et elle tire, fabriquant un joli groin à Maria qui, elle l'espère, devrait se réveiller et enfin la libérer de son piège.
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https://surviveorperish.forumactif.com/t167-hirono-song-of-the-islands https://surviveorperish.forumactif.com/t185-hirono-song-of-the-islands
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