mira · the untamable beauty

Prénom D'origine slave, Mira signifie merveille. Je ne sais pas si mes parents pensaient que j'en étais une, ou du moins, l'espéraient. Dans tous les cas, c'est ainsi que je m'appelle. A l'image de ceux qui le portent, c'est un prénom dont l'origine et l'histoire et floue et mystérieuse.
Surnom Tout au long de sa vie, certaines personnes ont été amenées à l'appelle M. Juste M. Simple et efficace. Rien de très poétique.
Âge Tout juste vingt-quatre ans. Un âge confortable, mais qui vient forcément avec de nouvelles questions, à l'approche des vingt cinq.
Pays d'origine C'est sous le soleil de l'australienne qu'elle est née, un beau jour d'été. C'est tout l'opposé de sa personnalité, qui est parsemée d'une noirceur mystérieuse. Cependant, une petite lumière est visible pour ceux qui veulent bien le voir.
Date d'arrivée sur l'île C'est le 28 juin 2019 qu'une porte m'a téléportée sur cette foutue île.
Jours sur l'île 400 jours. Certains plus faciles que d'autres, mais tous affrontés avec le même courage et ténacité.
Lieu d'habitation Désormais ta maison depuis plus d'un an, tu vis dans une cabane modeste perchée en haut d'un arbre.
Occupation Libre comme un colibri, elle vagabonde. Cependant, elle aspire à construire un deuxième campement, loin de la vision de la justice de la Cité.
Situation amoureuse En couple avec le Nil. Non, mais c'est quoi cette question sérieux. Est-ce qu'il y a des gens qui ont le temps d'avoir une situation amoureuse, même?
Orientation sexuelle Pas qu'elle n'ait beaucoup de temps de l'exprimer, mais elle se dit hétérosexuelle. Ce sont les hommes qui l'ont toujours attirée. Cependant, elle n'est pas fermée à tout type d'expériences. On ne sait pas de quoi la vie est faite.

traits de caractère:

Océan de larmes et de souffrance. La porte te laisse au milieu de la forêt, à deux mètres du sol. Au final, c'est un endroit que tu aimes, malgré tout. Mais, rien ne va. La chute te blesse superficiellement sur la tête. La souffrance physique, tu la sens même pas. Elle est moindre comparé à la souffrance de ton âme. Tu ne comprends pas comment tu as atterri là, tu veux comprendre. Le pire, c'est que tu es seule. Il n'est pas la Milan. Alors tu cries. Tu cries de toutes tes forces. Comme s'il allait apparaître. Mais il ne vient jamais. Les yeux plongés dans un océan de larmes et de souffrance. Le visage noircit par le maquillage qui coule. C'est d'ailleurs comme ça que tu t'obliges à te présenter, ça fait partie de qui tu es devenue. C'est l'image que tu veux garder et donner de toi. Eux ne savent pas forcément leur signification. Mais, tu es sur une île. Tu sais pas ce que tu fous là. T'as le droit de faire ce que tu veux, quand même.

Un refuge pour les incompris. Cela fait maintenant plus d'un an que tu es sur cette île. Tu as vécu et appris énormément de choses. Tu maîtrises maintenant le Nil, si on le considère même possible, de le maîtriser. Tu as soif de justice et commence à t'ouvrir aux autres. L'envie de réunir les bannis, les isolés à un seul endroit grandit en toi. Elle remplit ton âme, l'excite. Tu commences à flancher, à établir le contact. Il doit toujours avoir un deuxième choix, une deuxième possibilité. Puis, il y a aussi l'envie d'incarner la Justice qui te hante.

Que faisais-tu au moment où tu as été happé.e par la porte qui t'as emmené.e sur l'île ?
Tu préférerais ne pas y penser. Tu veux même enfouir ce souvenir au plus profond de ton âme. Comme s'il n'existait pas. Comme s'il n'avait jamais existé. Tu restes dans le déni. Sans savoir quoi faire d'autre. Tu te morfonds dans ta souffrance. Tu sombres. Petit à petit. Tu ne veux pas y croire. Tu refuses d'y croire. Ton jumeau ne peut pas être mort dans cet accident. Tu as à peine eu le temps d'essayer de trouver son pouls tout ensanglanté. Tu cries. Sans t'arrêter. Et quelques secondes plus tard, tu es sur le Nil. Seule. Face à une forêt dense. Sans lui. C'est tout. Un cauchemar. Une torture. Alors tu cries à plein poumons. MILAN.

Comment t'es-tu senti.e à ton réveil sur l'île ? Où étais-tu exactement ? Comment as-tu réagi face à la situation ?
Seule. Vide. Tu savais que tu n'étais plus là-bas. Tu savais que tu étais ailleurs, plongée dans l'incompréhension. Ailleurs. Tu penses pendant un instant t'être évanouie, être dans un rêve ou même en enfer. Mais, tout semble si réel. Tu cries surtout. De haine. De souffrance. D'incompréhension. De désespoir. Tu cries son nom. Tu veux le sauver, mais tu ne peux pas. Il n'est pas là. Et tu ne sais pas comment le rejoindre. Tu ne vois qu'une forêt dense t'entourant. Tu as quelques blessures superficielles sur le crâne à cause de la chute. Mais, tu es forte et ingénieuse, alors tu te rends à l'évidence. Pour l'instant, tu es coincée dans cet endroit. Tu es forte et courageuse, alors tu acceptes de t'adapter à la situation.

Comment as-tu eu connaissance de la cité et pourquoi as-tu choisi de l'intégrer ?
Tu as croisé une fois un des habitants de la Cité dans la forêt, qui t'en a directement parlé et rassuré. Cela semblait être le paradis. En plein milieu de l'enfer. Cela semblait trop beau pour être vrai surtout. De nature méfiante, tu n'y crois pas trop. Il y a forcément un truc qui cloche. Mais, tu acceptes de t'y rendre et finis même par l'intégrer. Mais, tu n'y séjourneras pas longtemps.

Qu'est-ce qui a causé ton exclusion de la Cité ? Quels sont tes sentiments à l'égard de tes anciens compagnons ?
Les règles, tu t'en fous. C'est pas ta tasse de thé. Tu diras même qu'elles ne te concernent pas, ne sont pas ton affaire. Alors, quand tu juges nécessaire, tu n'hésites pas à les transgresser. La justice n'existe pas dans les droits. C'est d'ailleurs la première chose qu'on te dit quand tu entames des études en droit. Si vous cherchez Justice, vous n'êtes pas au bon endroit. Les règles, tu t'en fous. Toi, ce qui t'intéresse, c'est la justice. Alors, quand tu pousses une jeune fille de seize ans dans une porte, dont elle n'avait pas la priorité. On te bannit. Forcément. Mais tu t'en fous de toute façon. Ils ne partagent pas les mêmes valeurs que toi, tu le sais. Tu es têtue et rancunière, alors tu ne reviendras pas. Puis, tu sais que tu as fais ce qui t'a semblé juste. Depuis son arrivée, elle n'était pas bien. Ne s'étant pas bien adaptée à la vie sur l'île, elle souffrait et peinait à accepter la situation. L'autre jeune homme présent était sportif et pouvait très bien rester quelques mois de plus. Tu vas la trouver la foutue porte, putain. Criais-tu alors qu'on te bannissait. Mais pour la sauver de ce supplice, tu l'as fais, sans sourciller. Tu ne le regrettes pas, tu aurais refais la même chose cent fois, s'il le fallait.

À quoi ressemble ton quotidien depuis ton arrivée sur l'île ?
Cela fait maintenant que tu traînes sur cette île. Tu as de la peine à accepter que tu es seule, sans Milan. Tu espères au fond de ton cœur le revoir un jour. Tu sais que tu le reverras un jour. Tu gardes espoir. Tu gardes cette certitude dans un coin de ton esprit. Et tu pries. Même si tu t'es un peu éloigné de Dieu, depuis que t'es ici. Tu pries quand même pour garder un lien. Parfois réduite à vagabonder, explorer, ce n'est jamais inutile. Tu survis, tu subviens à tes besoins quotidiens. Depuis un moment maintenant, tu essaies de rencontrer du monde, car même si tu as un côté solitaire, être avec d'autres personnes dans un tel contexte n'est pas loin d'une thérapie. Puis finalement, maintenant que tu as eu le temps d'appréhender et connaître l'île, tu penses qu'il serait judicieux de créer un campement propre aux bandits comme toi.

Crois-tu qu'il y ait réellement une échappatoire ? Comment te sens-tu face au fait que tes jours sont comptés ?
Tu n'es pas sûre qu'il y a une échappatoire, mais tu l'espères. De tout ton cœur. Tu espères que peu importe comment tu es arrivée ici, tu repartis de la même façon, en tant voulu. Et que tu le reverras Milan, en vie. Ta moitié. T'en as besoin. Tu ne pourrais pas vivre sans. Ici, tu ne vis pas, tu survis.

We found each other C'est elle qui t'a trouvé. MILAN! Alertée par tes cris, elle a couru en ta direction jusqu'à te trouver là. Brisée. En pleurs. Tu es à terre lorsqu'elle te trouve, elle t'enlace instinctivement. Tu ne fais pas attention, tu fais entièrement confiance à cette présence rassurante, presque angélique, rendue vulnérable par ta peine. Un grand lien vous unit depuis, même si ta méfiance et fierté n'ont pas toujours aidé. C'est elle qui t'a introduit à une grande partie des mystères du Nil. Ce lien pourrait très bien convenir à un personnage masculin également et le groupe est libre.

Love interest Tu sens qu'il y a quelque chose entre vous. Une énergie spéciale, bienveillante. Positive surtout, parmi toute la négativité présente ici. Tu le rencontres lors de ta venue à la Cité. Lorsque vos regards se sont croisés, aucun mot n'a été nécessaire. Les yeux ne mentent pas. Jamais. Il a même pris ta défense quand ils voulaient te virer. Mais la sentence a été irrévocable. Tu n'as pas passé beaucoup de moments avec lui, mais tu ne l'as jamais oublié. Tu ne l'as pas recroisé depuis, n'étant pas retournée à la Cité. Trop de fierté. Forcément. Mais, peut-être vos chemins se recroiseront un jour.

unforgivable Il aurait pu être loin, mais parce que t'as décidé qu'il était plus juste de sortir une petite fille de seize ans de cet enfer, il est encore ici. Il te déteste. T'en veut. Te maudis. Il aurait pu être loin, mais ta soif de justice était plus forte. Alors, tu l'as dévorée.

divinity (bruna)Âge 22 ans
Comment as-tu connu NI ? mon bb
Mon personnage est inventé
Groupe choisi outcast.
Avatar + crédit alycia debnam-carey.
Un p'tit mot ? i love you .